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Title:
HANDLING DEVICE FOR INSERTING A PIECE OF EQUIPMENT AT AN ANGLE INTO A SYSTEM
Document Type and Number:
WIPO Patent Application WO/2020/109688
Kind Code:
A1
Abstract:
Disclosed is a handling device (1) that allows a person to handle a piece of equipment that needs to be inserted at an angle into a system. This device (1) comprises a support part (2) suspended in the vicinity of the system and to which there is coupled a fastening assembly (4) to which the equipment is temporarily fastened in a stand-by position, and a curvilinear rail (3) fixedly attached to the fastening assembly (4) and comprising an operating handle (5). The support part (2) comprises a curvilinear slide (7) in which the curvilinear rail (3) is slidingly mounted, such that, when the person slides the latter (3) by means of the operating handle (5), it is moved from an initial position to an end position in which the equipment is in an offset and inclined position suitable for insertion at an angle into the system.

Inventors:
GLOUX PIERRE (FR)
BERTIN FREDERIC (FR)
QUEFFELEANT AEL (FR)
BENIFLA VICTOR (FR)
DUVIVIER ARNAUD (FR)
Application Number:
PCT/FR2019/052652
Publication Date:
June 04, 2020
Filing Date:
November 07, 2019
Export Citation:
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Assignee:
PSA AUTOMOBILES SA (FR)
International Classes:
B62D65/06; B66C13/08
Foreign References:
JPS56103668A1981-08-18
FR2909300A12008-06-06
FR3024865A12016-02-19
DE102010010627A12011-09-15
FR1872172A2018-11-30
Attorney, Agent or Firm:
LEFEVRE, Jacky (FR)
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Claims:
REVENDICATIONS

1 . Dispositif de manipulation (1 ) destiné à permettre la manipulation par une personne d’un équipement devant être introduit en biais dans un système, ledit dispositif (1 ) comprenant une pièce de support (2) destinée à être suspendue à proximité dudit système et à laquelle est couplé un ensemble de fixation (4) auquel est destiné à être temporairement fixé ledit équipement dans une position d’attente, caractérisé en ce qu’il comprend un rail curviligne (3) solidarisé fixement audit ensemble de fixation (4) et comprenant une poignée de manipulation (5), et en ce que ladite pièce de support (2) comprend une glissière (7) curviligne dans laquelle est monté à coulissement ledit rail curviligne (3) afin, lorsque ladite personne fait coulisser ce dernier (3) au moyen de ladite poignée de manipulation (5), de le faire passer d’une position initiale à une position finale dans laquelle ledit équipement est dans une position déportée et inclinée adaptée à son introduction en biais dans ledit système.

2. Dispositif selon la revendication 1 , caractérisé en ce que dans ladite position initiale ledit ensemble de fixation (4) est destiné à maintenir ledit équipement dans une position d’attente verticale.

3. Dispositif selon la revendication 1 ou 2, caractérisé en ce que dans ladite position finale ledit ensemble de fixation (4) est destiné à maintenir ledit équipement dans une position déportée et inclinée d’un angle compris entre 30° et 60° par rapport à ladite position d’attente.

4. Dispositif selon l’une des revendications 1 à 3, caractérisé en ce que i) ledit rail curviligne (3) comprend une encoche (8), et ii) ladite glissière (7) comprend une protubérance (9) destinée à être logée dans ladite encoche (8) lorsque ledit rail curviligne (3) est dans sa position finale, afin de maintenir ledit rail curviligne (3) dans cette position finale.

5. Dispositif selon la revendication 4, caractérisé en ce que ladite encoche (8) est définie dans une partie de ladite poignée de manipulation (5).

6. Dispositif selon l’une des revendications 1 à 3, caractérisé en ce que i) ladite glissière (7) comprend une encoche, et ii) ledit rail curviligne (3) comprend une protubérance destinée à être logée dans ladite encoche lorsque ledit rail curviligne (3) est dans sa position finale, afin de maintenir ledit rail curviligne (3) dans cette position finale.

7. Dispositif selon la revendication 6, caractérisé en ce que ladite protubérance est définie dans une partie de ladite poignée de manipulation (5).

8. Dispositif selon l’une des revendications 1 à 7, caractérisé en ce que ladite glissière (7) comprend une face latérale (10) munie d’une poignée de maintien (1 1 ) permettant à ladite personne de maintenir ladite pièce de support (2) dans une position fixe pendant ledit coulissement.

9. Utilisation du dispositif de manipulation (1 ) selon l’une des revendications précédentes pour manipuler un équipement constituant un siège afin de l’introduire en biais dans un système constituant un véhicule.

10. Utilisation selon la revendication 9, caractérisé en ce que ledit équipement constitue un siège avant comprenant un dossier comportant un appui-tête raccordé à au moins un câble, et en ce que ledit véhicule est de type automobile.

Description:
DESCRIPTION

TITRE : DISPOSITIF DE MANIPULATION POUR L’INTRODUCTION EN BIAIS D’UN ÉQUIPEMENT DANS UN SYSTÈME

Domaine technique de l’invention

La présente invention revendique la priorité de la demande française 1872172 déposée le 30 Novembre 2018 dont le contenu (texte, dessins et revendications) est ici incorporé par référence

L’invention concerne les dispositifs de manipulation qui sont destinés à permettre la manipulation par des personnes d’équipements devant être introduits dans des systèmes.

Etat de la technique

Comme le sait l’homme de l’art, l’installation de certains équipements lourds et/ou encombrants dans certains systèmes peut s’avérer difficile. C’est, par exemple et non limitativement, le cas des sièges avant qui doivent être introduits dans l’habitacle d’un véhicule automobile en cours d’assemblage sur une chaîne de montage.

Afin de faciliter cette installation, et notamment d’éviter que la personne qui en a la charge soit contrainte d’effectuer des mouvements complexes (peu ergonomiques) tout en portant l’équipement, on utilise un dispositif de manipulation. Ce dernier comprend généralement une pièce de support destinée à être suspendue à proximité du système (dans lequel doit être introduit un équipement) et à laquelle est couplé un ensemble de fixation auquel est destiné à être temporairement fixé cet équipement dans une position d’attente. La pièce de support comprend généralement un anneau qui est solidarisé à un bras d’un portique qui est mobile par rapport au système.

Lorsque l’encombrement de l’équipement augmente sans que la partie du système par laquelle on l’introduit ne change sensiblement, le dispositif de manipulation décrit ci-avant n’est plus parfaitement adapté. C’est notamment le cas, par exemple, lorsque l’on est contraint d’installer dans un véhicule un siège avant alors qu’il est pré-équipé de son appui-tête, parce que ce dernier est raccordé au dossier par au moins un câble électrique (par exemple connecté à des haut-parleurs intégrés). Dans ce cas, l’appui-tête doit être électriquement raccordé au dossier afin de garantir la continuité électrique et d’éviter des taches et opérations supplémentaires sur la chaîne de montage.

La présence d’un tel appui-tête contraint la personne qui utilise le dispositif de manipulation à incliner l’ensemble de fixation avec le siège pour les faire passer dans l’entrée de porte sans endommager le joint périphérique de porte. L’angle d’inclinaison, qui est typiquement compris entre 45° et 50°, contraint la personne à exercer un effort de remontée sur la partie basse du siège pour le faire pivoter avec l’ensemble de fixation, puis à maintenir incliné l’ensemble de fixation avec le siège en même temps qu’il déplace le portique pour faire pénétrer ces derniers dans l’habitacle. Cet effort de remontée revient à porter une charge d’environ 13 kg, ce qui n’est pas ergonomique et s’avère fatiguant, en particulier en cas de nombreuses répétitions dans une même journée.

L’invention a donc notamment pour but d’améliorer la situation.

Présentation de l’invention

Elle propose notamment à cet effet un dispositif de manipulation, d’une part, destiné à permettre la manipulation par une personne d’un équipement devant être introduit en biais dans un système, et, d’autre part, comprenant une pièce de support destinée à être suspendue à proximité du système et à laquelle est couplé un ensemble de fixation auquel est destiné à être temporairement fixé l’équipement dans une position d’attente.

Ce dispositif de manipulation se caractérise par le fait :

- qu’il comprend un rail curviligne solidarisé fixement à l’ensemble de fixation et comprenant une poignée de manipulation, et

- que sa pièce de support comprend une glissière curviligne dans laquelle est monté à coulissement le rail curviligne afin, lorsque la personne fait coulisser ce dernier au moyen de la poignée de manipulation, de le faire passer d’une position initiale à une position finale dans laquelle l’équipement est dans une position déportée et inclinée adaptée à son introduction en biais dans le système.

Ainsi, la personne n’a plus à exercer d’effort de remontée sur la partie basse du siège pour le faire pivoter avec l’ensemble de fixation, et d’effort pour maintenir incliné l’ensemble de fixation avec le siège.

Le dispositif de manipulation selon l’invention peut comporter d’autres caractéristiques qui peuvent être prises séparément ou en combinaison, et notamment :

- dans sa position initiale l’ensemble de fixation peut être destiné à maintenir l’équipement dans une position d’attente verticale ;

- dans sa position finale l’ensemble de fixation peut être destiné à maintenir l’équipement dans une position déportée et inclinée d’un angle compris entre 30° et 60° par rapport à la position d’attente ;

- son rail curviligne peut comprendre une encoche. Dans ce cas, sa glissière peut comprendre une protubérance destinée à être logée dans cette encoche lorsque le rail curviligne est dans sa position finale, afin de maintenir le rail curviligne dans cette position finale ;

l’encoche peut être définie dans une partie de la poignée de manipulation ;

- en variante, sa glissière peut comprendre une encoche. Dans ce cas, son rail curviligne peut comprendre une protubérance destinée à être logée dans cette encoche lorsque le rail curviligne est dans sa position finale, afin de maintenir le rail curviligne dans cette position finale ;

la protubérance peut être définie dans une partie de la poignée de manipulation ;

- sa glissière peut comprendre une face latérale munie d’une poignée de maintien permettant à la personne de maintenir la pièce de support dans une position fixe pendant le coulissement du rail curviligne.

Un dispositif de manipulation du type de celui présenté ci-avant peut être utilisé pour manipuler un équipement constituant un siège afin de l’introduire en biais dans un système constituant un véhicule. Par exemple, cet équipement peut constituer un siège avant comprenant un dossier comportant un appui-tête raccordé à au moins un câble, et ce véhicule peut être de type automobile. Brève description des figures

D’autres caractéristiques et avantages de l’invention apparaîtront à l’examen de la description détaillée ci-après, et des dessins annexés, sur lesquels :

[Fig. 1] illustre schématiquement, dans une vue en perspective, un exemple de réalisation d’une partie supérieure d’un dispositif de manipulation selon l’invention,

[Fig. 2] illustre schématiquement, dans une vue de face, le dispositif de manipulation de la figure 1 sans l’équipement à manipuler et avec son rail curviligne placé dans sa position initiale,

[Fig. 3] illustre schématiquement, dans une vue de face, le dispositif de manipulation de la figure 1 sans l’équipement à manipuler et avec son rail curviligne placé dans sa position finale, et

[Fig. 4] illustre schématiquement, dans une vue en perspective, une petite partie du dispositif de manipulation de la figure 1 .

Description détaillée de l’invention

L’invention a notamment pour but de proposer un dispositif de manipulation 1 destiné à permettre la manipulation par une personne d’un équipement devant être introduit en biais dans un système.

Dans ce qui suit, on considère, à titre d’exemple non limitatif, que l’équipement constitue un siège devant être introduit en biais dans un système constituant un véhicule. Mais l’invention n’est limitée ni à ce type d’équipement, ni à ce type de système.

Par ailleurs, on considère dans ce qui suit, à titre d’exemple non limitatif, que le véhicule est de type automobile. Il s’agit par exemple d’une voiture. Mais l’invention n’est pas limitée à ce type de véhicule. Elle concerne en effet tout type de véhicule comportant au moins une porte donnant accès à un habitacle et par laquelle doit être introduit en biais au moins un siège. Par conséquent, l’invention concerne au moins les véhicules terrestres (et notamment les véhicules automobiles, les véhicules utilitaires, les engins de voirie, les camions, les cars (ou bus), les engins de chantier et les engins tout terrain), certains bateaux, et certains aéronefs.

On a schématiquement représenté sur les figures 1 à 3, au moins partiellement, une partie d’un exemple de réalisation d’un dispositif de manipulation 1 selon l’invention, sans l’équipement (ici un siège avant avec un appui-tête) qu’il est destiné à introduire en biais dans un système (ici un véhicule automobile).

Comme illustré sur les figures 1 à 3, un dispositif de manipulation 1 , selon l’invention, comprend une pièce de support 2, un rail curviligne 3, et un ensemble de fixation 4.

L’ensemble de fixation 4 est destiné à permettre la fixation temporaire d’un équipement, devant être introduit en biais dans le système (ici via un passage de porte de véhicule), dans une position d’attente. Cet ensemble de fixation 4 est adapté à l’équipement devant être fixé sur lui. L’invention ne portant pas directement sur cet ensemble de fixation 4 (illustré sur les figures 2 et 3), il n’est pas ici décrit en détail. L’homme de l’art comprendra qu’il peut être sensiblement identique à celui qui est couramment utilisé dans l’art antérieur, par exemple pour l’introduction de sièges avant sans appui-tête.

Le rail curviligne 3 est solidarisé fixement à l’ensemble de fixation et comprend une poignée de manipulation 5 adaptée à la préhension par une main d’une personne (ou d’un technicien) chargé(e) de l’introduction de l’équipement dans le système. Cette solidarisation fixe peut se faire par soudage ou par boulonnage, par exemple.

La pièce de support 2 est destinée à être suspendue à proximité du système (ici un véhicule). A cet effet, et comme illustré non limitativement sur les figures 1 à 3, la pièce de support 2 peut comprendre un anneau 6 qui est destiné à être solidarisé à un bras d’un portique (non représenté), mobile par rapport au système. Ce portique fait éventuellement partie du dispositif de manipulation 1 .

Cette pièce de support 2 comprend une glissière 7 curviligne dans laquelle est monté à coulissement le rail curviligne 3. Ainsi, l’ensemble de fixation est couplé à la pièce de support 2 via le rail curviligne 3.

La courbure de la glissière 7 est identique à celle du rail curviligne 3, même si la longueur de ce dernier (3) est de préférence notablement plus importante que celle de la glissière 7. Grâce à cet agencement, lorsque la personne fait coulisser le rail curviligne 3 par rapport à la glissière 7, au moyen de la poignée de manipulation 5, le rail curviligne 3 passe d’une position initiale (illustrée sur la figure 2) à une position finale (illustrée sur la figure 3) dans laquelle l’équipement est dans une position déportée et inclinée adaptée à son introduction en biais dans le système.

On comprendra que le secteur angulaire sur lequel s’étend le rail curviligne 3 est fonction de l’angle d’inclinaison que doit avoir l’équipement dans sa position déportée et inclinée pour pouvoir être introduit facilement dans le système.

Grâce à l’invention, la personne n’a donc plus à exercer d’effort de remontée sur la partie basse du siège pour le faire pivoter avec l’ensemble de fixation, et d’effort pour maintenir incliné l’ensemble de fixation avec le siège. Il doit cependant exercer un effort au moyen de la poignée de manipulation 5 pour faire passer le rail curviligne 3 de sa position initiale à sa position finale, mais cet effort est notablement plus faible et beaucoup plus ergonomique que l’effort de remontée de l’art antérieur. Par ailleurs, une fois que le rail curviligne 3 se retrouve dans sa position finale (illustrée sur la figure 3) la personne qui le manipule sait automatiquement que l’angle d’introduction du siège dans le système (ici un véhicule) est le bon.

Comme illustré non limitativement sur la figure 2, lorsque le rail curviligne 3 est dans sa position initiale, l’ensemble de fixation 4 peut être destiné à maintenir l’équipement dans une position d’attente qui est verticale. Dans ce cas, toute la course de coulissement du rail curviligne 3 est utilisée pour placer l’équipement (ici un siège) dans sa position déportée et inclinée prédéfinie.

Par exemple, lorsque le rail curviligne 3 est dans sa position finale l’ensemble de fixation 4 peut être destiné à maintenir l’équipement dans une position déportée et inclinée d’un angle compris entre 30° et 60° par rapport à la position d’attente. De tels exemples d’angle d’inclinaison sont bien adaptés au cas où l’équipement est un siège avant équipé d’un appui-tête connecté par voie filaire au dossier.

On notera que la forme sensiblement rectangulaire de la poignée de manipulation 5, illustrée sur la figure 1 , est illustrative. Par conséquent toute autre forme peut être envisagée dès lors qu’elle permet une préhension par une main. Notamment, cette forme pourra être en U ou en I ou encore en C, par exemple.

Afin de permettre une immobilisation temporaire du rail curviligne 3 dans sa position finale (dans laquelle l’équipement est déporté et incliné), au moins deux modes de réalisation peuvent être envisagés.

Dans un premier mode de réalisation illustré non limitativement sur les figures 1 et 4, le rail curviligne 3 peut comprendre une encoche 8, et la glissière 7 peut comprendre une protubérance 9 destinée à être logée dans cette encoche 8 lorsque le rail curviligne 3 est dans sa position finale, afin de maintenir ce rail curviligne 3 dans cette position finale. Avec un tel agencement, lorsque la personne fait coulisser le rail curviligne 3 depuis sa position initiale jusqu’à sa position finale, au moment où le rail curviligne 3 parvient dans cette position finale l’encoche 8 vient entourer (et loger) la protubérance 9 et donc le rail curviligne 3 se retrouve immobilisé dans sa position finale par rapport à la glissière 7 (et donc par rapport à la pièce de support 2).

Par exemple, et comme illustré non limitativement sur la figure 4, la protubérance 9 peut présenter une forme de dent de scie (sensiblement triangulaire), et dans ce cas l’encoche 8 présente une forme triangulaire sensiblement homologue à celle de la protubérance 9 pour la loger.

Egalement par exemple, et comme illustré non limitativement sur les figures 1 et 4, l’encoche 8 peut être définie dans une partie de la poignée de manipulation 5. Cette partie est, ici, située sur l’une des deux liaisons entre le rail curviligne 3 et la poignée de manipulation 5.

Dans un second mode de réalisation (non illustré), la glissière 7 peut comprendre une encoche, et le rail curviligne 3 peut comprendre une protubérance destinée à être logée dans cette encoche lorsque le rail curviligne 3 est dans sa position finale, afin de maintenir le rail curviligne 3 dans cette position finale. Avec un tel agencement, lorsque la personne fait coulisser le rail curviligne 3 depuis sa position initiale jusqu’à sa position finale, au moment où le rail curviligne 3 parvient dans cette position finale la protubérance pénètre dans l’encoche et donc le rail curviligne 3 se retrouve immobilisé dans sa position finale par rapport à la glissière 7 (et donc par rapport à la pièce de support 2).

Par exemple, et comme dans le premier mode de réalisation, la protubérance peut présenter une forme de dent de scie (sensiblement triangulaire), et dans ce cas l’encoche présente une forme triangulaire sensiblement homologue à celle de la protubérance pour la loger.

Egalement par exemple, la protubérance peut être définie dans une partie de la poignée de manipulation 5. Cette partie peut être située sur l’une des deux liaisons entre le rail curviligne 3 et la poignée de manipulation 5.

On notera également, comme illustré non limitativement sur les figures

1 à 3, que la glissière 7 peut avantageusement comprendre une face latérale 10 munie d’une poignée de maintien 1 1 permettant à la personne de maintenir la pièce de support 2 dans une position fixe pendant le coulissement du rail curviligne 3. Cela permet de stabiliser la pièce de support 2 et donc de faciliter le coulissement précité. En outre, cela permet de faciliter le contrôle par la personne du déplacement du portique mobile au bras duquel est couplée la pièce de support 2.

On notera également que la forme en U de la poignée de maintien 1 1 , illustrée sur la figure 1 , est illustrative. Par conséquent toute autre forme peut être envisagée dès lors qu’elle permet une préhension par une main. Notamment, cette forme pourra être une forme rectangulaire ou en I ou encore en C, par exemple.