Login| Sign Up| Help| Contact|

Patent Searching and Data


Title:
DEVICE FOR PROTECTING FRONTAGES AGAINST GRAFFITI
Document Type and Number:
WIPO Patent Application WO/2010/066807
Kind Code:
A1
Abstract:
The invention relates to a device for protecting frontages against graffiti and other soils, including at least two series (100, 200) of blades (1), each series (100, 200) consisting of blades (1) parallel to each other and the blades (1) of a series (100) having an orientation different than those of the blades (1) of another series (200), wherein said device is characterised in that each series (100, 200) of blades (1) is located at a parallel level that is partially or totally different than that of the adjacent series (100, 200). The arrangement of the blades (1) results in a tangle of surfaces offset in relation to one another and having different orientations so as to split a paint spray from wherever it is sprayed while providing numerous cut-outs in the web of blades so as to facilitate the flow of paint, rain water, or washing water.

Inventors:
JULIEN PATRICIA (FR)
Application Number:
PCT/EP2009/066763
Publication Date:
June 17, 2010
Filing Date:
December 09, 2009
Export Citation:
Click for automatic bibliography generation   Help
Assignee:
JULIEN PATRICIA (FR)
International Classes:
E04C2/42; E04G21/30
Domestic Patent References:
WO2008040755A12008-04-10
Foreign References:
FR2523625A11983-09-23
AU642387B31993-10-14
US4282695A1981-08-11
DE202007011599U12007-11-15
US4034523A1977-07-12
Attorney, Agent or Firm:
RAVINA, Bernard (FR)
Download PDF:
Claims:
REVENDICATIONS

1.- Dispositif de protection des façades contre les graffitis et autres salissures comprenant au moins deux séries (100, 200) de lames (1 ) définies par leurs faces et leurs tranches, chaque série étant composée de lames parallèles entre elles et les lames d'une série adoptant une orientation différente de celle des lames d'une autre série, caractérisé en ce que chaque série de lames occupe un niveau parallèle partiellement ou totalement distinct de la série voisine.

2.- Dispositif selon la revendication 1 , caractérisé en ce qu'il comprend au moins trois séries (100, 200, 300) de lames (1 ).

3.- Dispositif selon l'une quelconque des revendications 1 ou 2, caractérisé en ce que chaque série de lames occupe un niveau distinct et juxtaposé au niveau voisin, ou un niveau distinct et distant du niveau voisin.

4.- Dispositif selon l'une des revendications précédentes, caractérisé en ce que pour chaque série de lames, les lames sont en contact par la tranche avec les lames du ou des niveaux voisins.

5.- Dispositif selon l'une quelconque des revendications précédentes, caractérisé en ce que les séries de lames sont maintenues en relation avec les lames du niveau voisin par un moyen de fixation choisi parmi : clips, pince, patte d'emboîtement, colle, interpénétration par moulage.

6.- Dispositif selon l'une quelconque des revendications précédentes, caractérisé en ce que dans chaque série, les lames ont une hauteur identique, différente ou non de la hauteur des lames appartenant à une série voisine.

7.- Dispositif selon l'une quelconque des revendications précédentes, caractérisé en ce que pour chaque série, la face des lames s'inscrit dans un plan perpendiculaire aux plans définis par les niveaux.

8.- Dispositif selon l'une quelconque des revendications 1 à 6, caractérisé en ce que pour au moins une série, la face des lames s'inscrit dans un plan incliné par rapport audit plan perpendiculaire aux plans définis par les niveaux.

9.- Dispositif selon l'une quelconque des revendications précédentes, caractérisé en ce qu'une au moins série de lames comprend des moyens de fixation (2) à une paroi.

10.- Dispositif selon l'une quelconque des revendications précédentes, caractérisé en ce qu'il est constitué d'une pluralité de modules dotés de moyens de liaison entre eux (3, 4).

1 1.- Procédé de protection des façades contre les graffitis et autres salissures caractérisé en ce qu'il consiste à se munir de modules constituant un dispositif selon l'une des revendications précédentes, et à fixer les modules dudit dispositif sur ladite façade, tout en les unissant par les moyens de liaison entre eux (3, 4).

12.- Procédé de protection selon la revendication précédente, caractérisé en ce qu'il consiste à fixer ledit dispositif sur ladite façade, dans une orientation telle qu'aucune lame (1 ) n'occupe une position horizontale.

Description:
DISPOSITIF DE PROTECTION DES FAÇADES CONTRE LES GRAFFITIS

La présente invention appartient au domaine des articles dédiés à la protection des murs extérieurs contre les dégradations, et plus particulièrement contre les inscriptions, dessins et graffitis.

Elle a pour objet un dispositif modulaire destiné à la protection des façades, les modules pouvant être fixés sur tout type de matériau, notamment pour empêcher les aérosols colorants de marquer les murs et dissuader les taggueurs d'utiliser ces surfaces, i

La dégradation des murs et plus généralement de toutes les parois et façades accessibles au public est un problème récurrent que rencontrent les citadins du monde entier. Les tags et graffitis ont envahi le mobilier urbain, les habitations, les bâtiments, les monuments historiques. Les façades sont régulièrement souillées de marques en tous genres, telles que graffitis, tags, mais aussi affiches, salissures diverses notamment trace de chaussures. Elles sont aussi abîmées par des chocs, des éclats de verre ou autre, qui endommagent le revêtement de la partie la plus basse des façades des édîfices urbains.

Différents procédés ont été proposés pour lutter contre ce phénomène. Par exemple, l'emploi de matériaux rugueux empêche la tenue des affiches sur les parois. Les revêtements de couleur bistre ou grise masquent les salissures. Cependant, la pratique du taggage à l'aide de marqueurs, de stylos ou d'aérosols de peinture qui s'est largement développée depuis quelques années soulève de nouvelles difficultés pour maintenir des façades en bon état de propreté.

Des techniques de nettoyage ont été spécifiquement mises au point. On peut citer les systèmes mécaniques d'hydrogommage, qui consistent en une projection à basse pression d'un mélange d'eau, d'air et de micro granulats choisis en fonction de la fragilité du support à traiter (granulats à base de silicate de verre, d'aluminium, de carbonate de soude ou de calcite de craie). Le mélange est projeté sur la surface à traiter à une pression de travail inférieure à 4 bars. Cette méthode évite en principe les dégradations liées à l'emploi de techniques de nettoyage trop agressives telles que le sablage de façade réalisé à une pression de 25 à 30 bars ou le nettoyage à haute pression réalisé de 200 à 250 bars. En pratique, ces techniques sont toutefois peu convaincantes puisqu'elles sont destructives dans leur utilisation courante et laissent des traces peu esthétiques là où le traitement a été réalisé. Leur coût est également excessif.

D'autres techniques adaptées pour le gommage des tags et graffitis ont été développées, qui permettent de nettoyer les tags sans abîmer les supports et dans le respect de l'environnement, par la dissolution des peintures à l'aide de différents produits.

Dans tous les cas, il est cependant nécessaire de prévoir une protection anti-graffitis par un traitement des surfaces qui évitera de futures déconvenues. On peut par exemple recourir à l'enduction d'un revêtement de protection. Par exemple, on peut appliquer une cire par pulvérisation ou au rouleau. La cire bloque les pigments et permet de simplifier le nettoyage : généralement de l'eau chaude sous pression suffit pour nettoyer le tag puis, une nouvelle couche de cire est simplement appliquée sur la zone nettoyée.

II est aussi proposé un produit filmogène appliqué sur l'intégralité de la surface à l'aide d'une brosse ou en pulvérisation, qui empêche le nouveau graffiti d'imprégner le support et facilite son enlèvement par une chimie adaptée non agressive. Les supports traités peuvent être constitués de pierre dure, pierre tendre, marbre, brique, bronze, bois ou éléments décoratifs en fer forgé.

Ces méthodes de traitement des surfaces diminuent le temps nécessaire au nettoyage des graffitis et réduisent les risques de détérioration des parois. Cependant, même si dès lors, le nettoyage des tags peut être effectué plus aisément, il doit encore être assuré régulièrement avec des produits anti-tags et rinçage à haute pression.

Des peintures anti-graffitis ont aussi été proposées aux propriétaires mécontents, mais la fonction essentielle de ces produits est de faciliter le nettoyage des surfaces souillées. Ceci implique là encore un entretien régulier des façades, et d'autant plus fréquent qu'une surface nette présente un attrait accru pour les taggueurs.

Pour remédier à ce problème, il a été proposé un dispositif de protection pouvant être fixé à une paroi à préserver. Il est constitué d'une pluralité de modules comprenant chacun un réseau de lames formant une trame alvéolaire. Lorsqu'un aérosol est projeté vers la paroi, les lames cassent le jet qui ne peut donc pas atteindre la surface du mur. Il n'est ainsi pas possible de réaliser un motif déterminé, qu'il soit graphique ou figuratif. Les gouttelettes s'accumulent sur les lames sans former le motif voulu. La façade est pas ou peu touchée et en outre le taggueur découragé n'aura pas de raison de revenir la maculer.

Ce système offre donc une solution originale au problème de l'entretien des édifices. Cependant, il s'est avéré que les lames de la trame alvéolaire retiennent à la fois les peintures projetées, mais aussi, l'eau de pluie et les poussières. Le nettoyage au jet est donc souvent requis pour éliminer des salissures, avec là encore une difficulté d'évacuation de l'eau et des saletés.

La présente invention a pour objectif de remédier à ce problème, grâce à un dispositif de protection permettant d'éviter la dégradation des façades sur rue par les graffitis, dont l'entretien est aisé. Un objectif de l'invention est tout particulièrement de faciliter l'évacuation des poussières se déposant sur les lames du dispositif et dans les encoignures de la structure. Un autre objectif de la présente invention est de fournir un système de protection anti-tag qui n'entraîne pas l'accumulation des peintures et de l'eau dans sa structure, ni la stagnation de l'humidité contre la paroi qu'il a vocation à protéger. La présente invention a pour but de fournir un dispositif de protection dont la mise en œuvre est simple et efficace, qui s'adapte aisément à tout type de surface, quelle que soit sa géométrie. Le dispositif doit être peu onéreux.

Plus précisément, la présente invention a pour objet un dispositif de protection des façades contre les graffitis et autres salissures comprenant au moins deux séries de lames, définies par leurs faces et leurs tranches, chaque série étant composée de lames parallèles entre elles et les lames d'une série adoptant une orientation différente de celle des lames d'une autre série, dans lequel chaque série de lames occupe un niveau parallèle partiellement ou totalement distinct de la série voisine.

Les lames sont définies par leurs faces et leurs tranches, puisque ce sont des bandes plates et minces. Ces termes seront utilisés par la suite, le terme "tranche" s'appliquant aux côtés minces des lames, par analogie au tranchant d'un outil, et le terme "face" s'appliquant aux deux plages larges et plates des lames.

Ainsi, selon l'invention, une fois placée sur une paroi, une première série de lames sera en appui sur ladite paroi, mais la série suivante sera placée à une certaine distance de la paroi, et une éventuelle troisième série sera située à une distance encore plus important de la paroi. Le terme "niveau" est ici employé comme une couche d'épaisseur constante (conditionnée par la largeur des lames), dont le plan médian donne l'orientation.

L'agencement des lames ne conduit donc pas à la réalisation d'un réseau de cloisons formant des alvéoles, mais plutôt à celle d'un enchevêtrement de facettes décalées les unes par rapport aux autres et d'orientation différente. Les lames ayant diverses orientations sont donc à même de couper le jet de peinture d'où qu'il soit projeté. Le décalage de niveaux a plusieurs effets intéressants. D'une part il ménage des ajours nombreux dans la trame des lames favorisant l'écoulement de la peinture et de l'eau de pluie ou de nettoyage. Il évite en particulier la stagnation de liquides contre la paroi à laquelle le dispositif est fixé, dans la mesure où les lames ne forment pas ou peu d'encoignures au niveau des nœuds de croisement. Un positionnement optimal du dispositif est obtenu lorsque aucune lames ne se trouve orientée horizontalement, de manière à favoriser encore mieux l'élimination des liquides et des poussières. En outre, grâce à la combinaison de lames d'orientation différente et décalées en hauteur (c'est-à- dire par rapport au mur), une telle trame n'offre pas de plans continus suffisamment étendus qui seraient aptes à recevoir une couleur pouvant permettre de réaliser un dessin visible pour un observateur sous quelque angle que ce soit.

Dans une mode de réalisation préféré, le dispositif selon l'invention comprend au moins trois séries de lames. Vues face à la paroi, apparaît un croisillon. Lorsqu'on utilise trois niveaux de lames, on peut par exemple avoir une première série verticale, une deuxième série orientée à +45° et une deuxième série à -45° par rapport à la première série.

Selon une caractéristique avantageuse du dispositif objet de l'invention, chaque série de lames occupe un niveau distinct et juxtaposé au niveau voisin, ou un niveau distinct et distant du niveau voisin. Dans le premier cas les lames d'un niveau sont en contact avec les lames du niveau suivant, sans interpénétration entre lames. De préférence, pour chaque série de lames, les lames sont en contact par la tranche avec les lames du ou des niveaux voisins.

Dans le second cas, les lames d'un niveau sont liées aux lames d'un autre niveau par un moyen de liaison qui ménage un écart entre elles.

Selon l'invention, les séries de lames peuvent être maintenues en relation (en contact ou à distance) avec les lames du niveau voisin par un moyen de fixation choisi parmi : clips, pince, patte d'emboîtement, colle, interpénétration par moulage. Tout autre moyen connu de l'homme de l'art peut aussi être utilisé. A noter que lorsque le procédé de fabrication retenu est un moulage, il y a interpénétration entre les lames et les séries de lames occupent des niveaux se chevauchant.

De préférence selon l'invention, dans chaque série, les lames ont une hauteur identique, différente ou non de la hauteur des lames appartenant à une série voisine. Chaque niveau est donc défini par la hauteur des lames qui détermine l'épaisseur dudit niveau. Grâce à cette disposition, il est possible de gêner encore davantage la réalisation de motifs réguliers. Des effets esthétiques intéressants peuvent en outre être obtenus.

Selon un mode de réalisation particulier de l'invention, pour chaque série, la face des lames s'inscrit dans un plan perpendiculaire aux plans définis par les niveaux. Ainsi, lorsqu'on se place face à la paroi équipée du dispositif de protection, c'est essentiellement la tranche des lames qui est visible.

Selon un autre mode de réalisation particulier de l'invention, pour au moins une série, la face des lames s'inscrit dans un plan incliné par rapport audit plan perpendiculaire aux plans définis par les niveaux. On obtient alors un effet visuel de rhombes. Ce mode de réalisation du dispositif présente l'avantage que les nœuds de croisement des lames sont aussi inclinés et que les poussières et les liquides ne s'y coincent pas. Bien entendu, il est préférable que l'inclinaison entraîne les saletés vers l'extérieur de la paroi, ce qui est obtenu en plaçant correctement le dispositif par rapport au mur au moment de sa fixation.

Par ailleurs, dans le dispositif selon l'invention, une au moins série de lames comprend avantageusement des moyens de fixation à une paroi. Tout moyen à la disposition de l'homme du métier peut être utilisé, qui sera choisi en fonction de la nature de la paroi à équiper.

Selon une caractéristique intéressante, le dispositif objet de l'invention est constitué d'une pluralité de modules dotés de moyens de liaison entre eux. Ces modules ont une dimension les rendant à la fois commode à assembler et à placer sur des surfaces de toute taille, y compris lorsque cette surface présente un certain relief, et faciles à manipuler lors de leur fabrication et de leur transport. Le dispositif selon l'invention trouve son application à la protection des murs d'édifices et parois de toutes sortes. Il est également préconisé pour la protection des ouvrages et des bâtiments situées dans des espaces publics souvent pris pour cibles par les taggueurs (par exemple gymnases, murs anti-bruit...)- Les surfaces de toutes natures peuvent être protégées, y compris des matières plastiques (plexiglass™, polycarbonates, PVC.) et des surfaces peintes.

La mise en œuvre du dispositif conforme à l'invention est effectuée selon un procédé également objet de la présente invention. Ce procédé de protection des façades contre les graffitis et autres salissures consiste à se munir de modules constituant le dispositif selon l'invention, tel que décrit précédemment, et à fixer les modules dudit dispositif sur ladite façade, tout en les unissant par les moyens de liaison entre eux.

De manière avantageuse, le procédé de protection selon l'invention consiste à fixer ledit dispositif sur ladite façade, dans une orientation telle qu'aucune lame n'occupe une position horizontale.

D'autres avantages et caractéristiques de l'invention apparaîtront à la lecture de la description ci-après d'une forme de réalisation donnée à titre d'exemple non limitatif, illustrée par les dessins joints dans lesquels :

- la figure 1 est une vue avant en perspective d'un dispositif selon l'invention (côté rue) ;

- la figure 2 est une vue arrière en perspective du même dispositif (côté façade) ;

- la figure 3 est une vue de face du même dispositif.

En référence aux figures, le dispositif de protection comprend trois séries de lames 100, 200, 300, les lames 1 de chaque série étant orientées parallèlement entre elles, et les lames de chacune des séries présentent une orientation différente. Le dispositif est ici représenté par un module 10, destiné à couvrir une surface carrée. Bien qu'il puisse être fixé dans un sens quelconque, il sera ici décrit, par souci de simplicité et de clarté, dans une orientation donnée. La première série 100, destinée à être la plus proche de la paroi est orientée selon un premier axe diagonal du carré. La deuxième série 200 de lames, qui est en position intermédiaire entre la première et la troisième séries de lames, adopte une orientation selon l'autre diagonale du carré. Les lames de la troisième série 300, destinée à être placé côté rue, sont orientées verticalement. Chaque série de lames occupe un niveau distinct et juxtaposé au niveau voisin : les lames d'un niveau sont en contact par la tranche avec les lames du niveau suivant, sans interpénétration entre lames. Les lames du premier et du deuxième niveaux sont maintenues en relation par des pattes d'emboîtement 5 comportant une encoche, ménagées sur les lames du premier niveau Les lames du deuxième et du troisième niveaux sont maintenues ensemble par thermocollage. Dans un même niveau, les lames ont toutes la même largeur, qui définit l'épaisseur du niveau auquel elles appartiennent.

Selon le modèle décrit dans le présent exemple, les lames des première 100 et deuxième 200 séries ont une largeur identique, ces deux niveaux ont donc la même épaisseur. Par contre la troisième série 300 est formée de lames plus larges que celles des autres séries. Cependant, comme déjà indiqué, les séries de lames peuvent avoir des hauteurs différentes ou encore toutes égales.

Selon l'exemple, la face des lames s'inscrit dans un plan perpendiculaire aux plans définis par les niveaux, mais les lames du premier niveau 100 et du deuxième niveau 200 (côté paroi et intermédiaires) peuvent être légèrement inclinées, présentant ainsi un dévers qui favorisera l'écoulement des eaux de pluie et d'éventuelles projections de peinture ou autre.

La première série 100 de lames comprend des onglets 2 de fixation à la paroi, percés pour laisser le passage d'une vis ou autre.

Par ailleurs, les modules 10 sont dotés de moyens de liaison entre eux. Il s'agit ici d'un système de clips, dont la partie femelle 3 et la partie mâle 4 sont prévues sur les bords des modules.

La mise en œuvre des modules 10 du dispositif est très simple. Il suffit de fixer les modules sur la façade à protéger, tout en les unissant par les moyens de liaison entre eux. On prendra soin de fixer ie dispositif dans une orientation telle qu'aucune lame n'occupe une position horizontale.




 
Previous Patent: WO/2010/066806

Next Patent: INFOTAINMENT SYSTEM