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Title:
STEAM HAIRDRESSING APPLIANCE PROVIDED WITH A SYSTEM FOR CONNECTING TO A TAP OF THE PUBLIC WATER DISTRIBUTION SYSTEM
Document Type and Number:
WIPO Patent Application WO/2014/167217
Kind Code:
A1
Abstract:
The invention relates to a hairdressing appliance (1) comprising a portable treatment unit (2) designed to heat hair and to project steam over the hair, characterised in that said hairdressing appliance comprises a water supply device (11) designed to connect the portable treatment unit to a tap (12) of the public water distribution system.

Inventors:
NGO EDDY (FR)
Application Number:
PCT/FR2014/050802
Publication Date:
October 16, 2014
Filing Date:
April 03, 2014
Export Citation:
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Assignee:
SEB SA (FR)
International Classes:
A45D1/04; A45D2/00
Foreign References:
FR1035380A1953-08-24
FR2688807A11993-09-24
FR2967017A12012-05-11
Attorney, Agent or Firm:
GUERY-JACQUES, Géraldine et al. (FR)
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Claims:
REVENDICATIONS

1 . Appareil de coiffure (1 ) comprenant :

- une unité de traitement portable (2) configurée pour chauffer les cheveux et pour projeter de la vapeur d'eau sur ces cheveux,

- un dispositif d'alimentation en eau (1 1 ) configuré pour raccorder l'unité de traitement portable à un robinet (12) du réseau d'eau public,

Caractérisé en ce que le dispositif d'alimentation en eau (1 1 ) comprend une vanne de régulation (13) du débit d'eau, des moyens de raccordement (15, 17) de la vanne de régulation, en amont, au robinet (12) et, en aval, à une électrovanne (14) agencée sur l'unité de traitement (2).

2. Appareil de coiffure (1 ) selon la revendication 1 , dans lequel l'unité de traitement (2) comprend au moins un bras (4) muni d'une chambre de vaporisation (8), l'électrovanne (14) étant configurée pour alimenter la chambre de vaporisation de l'au moins un bras.

3. Appareil de coiffure (1 ) selon la revendication 2, dans lequel l'unité de traitement (2) comprend deux bras (3, 4) articulés entre eux et formant une pince, dont au moins l'un est muni d'une chambre de vaporisation (8), ladite unité de traitement étant configurée pour commander l'ouverture de l'électrovanne (14) suite à la fermeture de la pince.

4. Appareil de coiffure (1 ) selon la revendication 3, dans lequel l'unité de traitement (2) comprend une carte électronique (9) de gestion et un dispositif de détection (10) des positions ouverte et fermée de la pince.

5. Appareil de coiffure (1 ) selon l'une des revendications 3 ou 4, dans lequel les deux bras (3, 4) comprennent chacun une surface chauffante (6, 7), les surfaces chauffantes étant configurées pour pincer une mèche de cheveux lors de la fermeture de la pince.

6. Appareil de coiffure (1 ) selon l'une des revendications 1 à 5, dans lequel les moyens de raccordement comprennent un tuyau flexible (15) dont une première extrémité (15a) est raccordée à la vanne de régulation (13) et une seconde extrémité (15b) est raccordée à l'électrovanne (14) sur l'unité de traitement (2).

7. Appareil de coiffure (1 ) selon la revendication 6, dans lequel un système de connexion (17) est agencé entre le tuyau (15) et l'électrovanne (14) et configuré pour permettre le branchement et le débranchement du tuyau vis-à-vis de l'unité de traitement (2).

8. Appareil de coiffure (1 ) selon l'une des revendications 1 à 7, dans lequel le dispositif d'alimentation en eau (1 1 ) comprend un système de filtration (19) de l'eau.

9. Appareil de coiffure (1 ) selon l'une des revendications 1 à 8, lequel comprend au moins une surface chauffante (6, 7) configurée pour permettre le lissage, le bouclage et/ou le gaufrage des cheveux.

Description:
APPAREIL DE COIFFURE A VAPEUR EQUIPE D'UN SYSTEME DE

RACCORDEMENT A UN ROBINET DU RESEAU D'EAU PUBLIC

La présente invention concerne un appareil de coiffure à vapeur qui est destiné à traiter les cheveux par chauffe et par vapeur en vue de leur mise forme. Un tel appareil de coiffure permet par exemple, selon sa configuration, de réaliser le lissage, le bouclage ou le gaufrage des cheveux.

De manière traditionnelle, les appareils de coiffure qui permettent le lissage, le bouclage ou le gaufrage des cheveux, comprennent une unité de traitement portable constituée notamment de deux bras, ou mâchoires, qui comportent chacun une surface pouvant être plane ou incurvée. Les deux bras sont articulés entre eux pour former une pince configurée pour pincer les cheveux entre les deux surfaces disposées en vis-à-vis, lors du rapprochement des deux bras. Ces deux bras comprennent également une zone de préhension permettant l'ouverture et la fermeture de la pince ainsi que sa manipulation durant le coiffage. Au moins l'une de ces deux surfaces comporte un dispositif chauffant permettant le traitement par chauffe des cheveux lors de leur pincement entre les deux surfaces. Le lissage d'une mèche de cheveux s'effectue en pinçant la mèche entre les deux surfaces et en déplaçant la pince fermée le long de cette mèche, de la racine vers la pointe. Le bouclage d'une mèche de cheveux s'effectue en pinçant la mèche entre les deux surfaces et en enroulant au moins partiellement cette mèche autour des surfaces, la chaleur permettant de fixer la boucle de cheveux.

Pour améliorer la mise en forme des cheveux, il est possible d'utiliser en complément du traitement par chauffe, un traitement par vapeur, ladite vapeur étant projetée sur les cheveux. A ce titre, la demanderesse a déjà développé un appareil de coiffure à vapeur qui est décrit dans la demande de brevet publiée sous le numéro FR 2 967 017 A1 . Outre les caractéristiques techniques décrites précédemment, l'appareil de coiffure selon FR 2 967 017 A1 comprend une base déportée par rapport à l'unité de traitement portable et raccordée à celle-ci. La base comprend un réservoir à eau et une pompe permettant, lors de son activation, de pomper l'eau dans le réservoir pour alimenter la pince. L'un des bras de l'unité de traitement portable comprend une chambre de vaporisation équipée d'un dispositif chauffant. Lorsque l'appareil de coiffure a atteint ses conditions optimales d'utilisation et que l'utilisateur souhaite utiliser la vapeur pour son coiffage, la pompe injecte de l'eau dans la chambre de vaporisation ; cette eau se vaporise sous l'action du dispositif chauffant puis la vapeur est projetée sur les cheveux. Ainsi, la pince permet le traitement des cheveux par chauffe et par vapeur. On connaît également des appareils de coiffure permettant un traitement des cheveux par chauffe et par vapeur, qui disposent d'un mini réservoir d'eau agencé directement sur une unité de traitement portable. Ce réservoir d'eau est configuré pour imbiber une mousse en contact avec un dispositif chauffant sur l'unité de traitement configurée à cet effet, ce qui permet également un traitement des cheveux par vapeur en complément d'un traitement desdits cheveux par chaleur. Cette conception ne présente donc aucune base déportée, à la différence du brevet FR 2 967 017 A1 précité, mais présente pour inconvénient vis-à-vis de celui-ci d'avoir une capacité fortement limitée nécessitant un remplissage fréquent du réservoir d'eau. La présente invention a pour objet de concevoir une variante d'appareil de coiffure équipé d'une unité de traitement des cheveux par chaleur et par vapeur dont la conception est simplifiée par rapport aux appareils de coiffure pour un traitement par chaleur et par vapeur tels que connus actuellement.

A cet effet, l'invention concerne un appareil de coiffure qui comprend une unité de traitement portable configurée pour chauffer les cheveux et pour projeter de la vapeur d'eau sur ces cheveux. De manière remarquable, l'appareil de coiffure comprend un dispositif d'alimentation en eau configuré pour raccorder l'unité de traitement portable à un robinet du réseau d'eau public. Une telle conception présente pour avantage de s'affranchir de la présence d'une base déportée de l'appareil de coiffure comprenant un réservoir de stockage de l'eau voire, pour la variante de conception connue de l'art antérieur, d'un mini réservoir d'eau raccordé directement sur l'unité de traitement. Cela permet de limiter l'encombrement de l'appareil et de garantir une alimentation en eau en permanence durant toute l'opération de coiffage, sans avoir à se soucier d'une réserve d'eau suffisante dans le réservoir vu la suppression d'un tel réservoir. Cette conception permet également de supprimer la présence d'une pompe sur l'appareil de coiffure qui, selon l'invention, utilise directement la pression de l'eau sur le réseau d'eau public. Cela contribue également à réduire l'encombrement de l'appareil de coiffure.

Selon l'appareil de coiffure objet de l'invention, le dispositif d'alimentation en eau comprend une vanne de régulation du débit d'eau qui est configurée pour régler le débit et la pression de l'eau issue du réseau d'eau public. En outre, le dispositif d'alimentation en eau comprend des moyens de raccordement de la vanne de régulation, en amont, au robinet et, en aval, à une électrovanne agencée sur l'unité de traitement. Cette électrovanne est configurée pour être commandée électroniquement par l'unité de traitement et pour ouvrir ou fermer l'alimentation en eau de cette unité de traitement.

Selon l'appareil de coiffure objet de l'invention, l'unité de traitement comprend au moins un bras muni d'une chambre de vaporisation. En outre, l'électrovanne est configurée pour alimenter, par le biais d'un conduit d'alimentation, ladite chambre de vaporisation de l'au moins un bras. On pourrait cependant prévoir deux bras munis chacun d'une chambre de vaporisation et une électrovanne configurée pour alimenter, par le biais de conduits, les deux chambres de vaporisation.

Selon une conception particulière de l'appareil de coiffure objet de l'invention, l'unité de traitement comprend deux bras articulés entre eux et formant une pince. Au moins l'un est muni d'une chambre de vaporisation. L'unité de traitement est configurée pour commander l'ouverture de l'électrovanne suite à la fermeture de la pince, par exemple, lors de la fermeture de cette pince.

Selon cette conception particulière de l'appareil de coiffure objet de l'invention, l'unité de traitement comprend une carte électronique de gestion et un dispositif de détection des positions ouverte et fermée de la pince. De préférence, ce dispositif de détection est un contacteur agencé entre les deux bras qui détecte la position ouverte ou fermée de la pince et transmet une information à la carte électronique de gestion, ladite carte électronique de gestion commandant l'électrovanne en fonction de l'information reçue.

Selon cette conception particulière de l'appareil de coiffure objet de l'invention, les deux bras comprennent chacun une surface chauffante, les surfaces chauffantes étant configurées pour pincer une mèche de cheveux lors de la fermeture de la pince. On pourrait toutefois prévoir une unité de traitement avec deux bras dont un seul comprendrait une surface chauffante, sans sortir du cadre de l'invention.

Selon l'appareil de coiffure objet de l'invention, les moyens de raccordement comprennent un tuyau flexible dont une première extrémité est raccordée à la vanne de régulation et une seconde extrémité est raccordée à l'électrovanne sur l'unité de traitement. De préférence, la vanne de régulation sera configurée pour être raccordée directement au robinet du réseau public. On peut toutefois envisager dans une variante de réalisation que les moyens de raccordement comprennent également un second tuyau disposé en amont de la vanne de régulation et dont une première extrémité est raccordée à ladite vanne de régulation et une seconde extrémité est raccordée audit robinet.

Selon cette conception de l'appareil de coiffure objet de l'invention, les moyens de raccordement peuvent comprendre un système de connexion agencé entre le tuyau et l'électrovanne. Ce système de connexion est configuré pour permettre le branchement et le débranchement du tuyau vis-à-vis de l'unité de traitement. Cela permet de faciliter le rangement de l'unité de traitement de l'appareil de coiffure en laissant la vanne de régulation branchée sur le robinet, ce qui permet également de gagner du temps lors de l'utilisation suivante de l'appareil. Selon l'appareil de coiffure objet de l'invention, le dispositif d'alimentation en eau comprend un système de filtration de l'eau. Cela permet de limiter les dépôts de calcaire dans l'unité de traitement.

Selon l'appareil de coiffure objet de l'invention, celui-ci comprenant au moins une surface chauffante configurée pour permettre le lissage des cheveux. Dans ce cas l'appareil de coiffure comprend deux bras équipés chacun d'une surface chauffante de forme plane. Dans une variante, cet appareil de coiffure peut toutefois être configuré pour permettre le bouclage de cheveux. Dans ce cas, l'appareil de coiffure comprend deux bras dont l'un comprend une surface chauffante de forme cylindrique. Dans une autre variante, cet appareil de coiffure peut être configuré pour permettre le gaufrage des cheveux. Dans ce cas, l'appareil de coiffure comprend deux bras équipés chacun d'une surface chauffante de forme ondulée. On pourrait en outre prévoir un appareil de coiffure dont les bras sont équipés de têtes amovibles ou de surfaces chauffantes amovibles remplissant respectivement ces fonctions de lissage, bouclage et gaufrage.

La description suivante met en évidence les caractéristiques et avantages de l'appareil de coiffure selon l'invention. Cette description s'appuie sur des figures, considérées à titre non limitatif et parmi lesquelles : - La figure 1 illustre un appareil de coiffure de type lisseur qui met en évidence le dispositif d'alimentation en eau ;

- La figure 2 schématise le principe de fonctionnement de l'appareil de coiffure.

Sur la figure 1 , l'appareil de coiffure 1 objet de l'invention est un lisseur de cheveux. Celui-ci comprend une unité de traitement portable 2. Cette unité de traitement portable 2 est alimentée électriquement au moyen d'une prise de raccordement électrique (non illustrée). L'unité de traitement portable 2 comprend deux bras 3, 4 - également appelés mâchoires - articulés entre eux au moyen d'une liaison pivot 5, ce qui permet de constituer une pince. Les deux bras 3, 4 comprennent chacun sur leur face interne et au niveau de leur partie distale 3a, 4a, une surface chauffante 6, 7. Selon le mode de réalisation de la figure 1 , les surfaces chauffantes sont planes, sous la forme de deux plaques. Bien entendu des variantes sont envisageables avec des surfaces chauffantes incurvées, comme notamment sur les appareils de coiffure du type boudeur de cheveux, voire des surfaces chauffantes ondulées, comme notamment sur les appareils de coiffure du type gaufreur de cheveux. On pourrait en outre envisager des variantes de réalisation avec seulement une des deux surfaces qui soit chauffante, l'autre surface contribuant uniquement au pincement de la mèche de cheveux pour sa mise en forme.

Les deux bras 3, 4 comprennent chacun une partie proximale 3b, 4b. Ces deux parties proximales 3b, 4b peuvent concomitamment être empoignées avec une main, ce qui permet la manipulation de l'unité de traitement portable 2 et la fermeture de la pince lorsque les deux parties proximales 3b, 4b sont enserrées. Lors de la fermeture de la pince, les surfaces chauffantes 6, 7 disposées en vis-à-vis viennent en contact l'une contre l'autre, ce qui permet le pincement d'une mèche de cheveux disposée entre ces deux surfaces chauffantes 6, 7.

Comme illustré en figure 1 , le second bras 4 comprend au niveau de sa partie distale 4a, une chambre de vaporisation 8 qui permet la création de vapeur et la projection de cette vapeur sur la mèche de cheveux pincée entre les deux surfaces chauffantes 6, 7 lors de la fermeture de la pince.

Dans une réalisation, l'unité de traitement portable 2 de l'appareil de coiffure 1 selon l'invention pourra reprendre des caractéristiques techniques similaires à celles décrites dans la demande de brevet FR 2 967 017 A1 déposée par la demanderesse, quant à la mise en œuvre des surfaces chauffantes 6, 7 et de la chambre de vaporisation 8, avec tous les avantages que procure une telle conception. Des variantes restent bien entendu envisageables pour ces éléments, sans sortir du cadre de l'invention. Ainsi, les surfaces chauffantes 6, 7 et la chambre de vaporisation 8 comprennent chacune un dispositif de chauffe constitué d'une thermistance à coefficient de température positif, dit CTP, et un dispositif de mesure de la température du dispositif de chauffe constitué d'une thermistance à coefficient de température négatif, dit CTN. Dans une variante de réalisation avec seulement une des deux surfaces qui est chauffante, l'autre surface contribuant uniquement au pincement de la mèche de cheveux pour sa mise en forme, ladite unité de traitement comprend seulement deux thermistances à coefficient de température positif et deux thermistances à coefficient de température négatif, voire sur certaines variantes connues, une seule thermistance à coefficient de température négatif mesurant la température des deux thermistances à coefficient de température positif. L'unité de traitement portable 2 comprend une carte électronique 9 qui est configurée pour gérer l'activation des deux surfaces chauffantes 6, 7 et de la chambre de vaporisation 8. Cette carte électronique 9 est agencée à l'intérieur de l'un des deux bras 3, 4, par exemple dans la partie proximale 4b du second bras 4. Comme illustré en figures 1 et 2, l'unité de traitement 2 comprend un capteur magnétique 10 du type interrupteur à lame souple, dit ILS, qui permet de détecter la position fermée de la pince selon laquelle les deux surfaces chauffantes 6, 7 sont rapprochées l'une contre l'autre et pincent une mèche de cheveux. Dans une variante, on pourrait remplacer l'interrupteur à lame souple par un capteur magnéto-résistif, dit MRS.

L'appareil de coiffure 1 comprend un dispositif d'alimentation 1 1 qui permet d'alimenter en eau la chambre de vaporisation 8 directement depuis un robinet 12 du réseau d'eau public. Le réseau d'eau public présente pour avantage de délivrer une eau sous pression, ce qui permet de s'affranchir de la présence d'une pompe sur l'appareil de coiffure 1 . Ce dispositif d'alimentation 1 1 comprend une vanne de régulation 13 qui comprend des moyens de raccordement configurés pour raccorder par vissage et de manière étanche ladite vanne de régulation 13 sur un embout du robinet 12 présent sur le lieu d'utilisation de l'appareil de coiffure 1 . On peut toutefois prévoir un tuyau de raccordement entre la vanne de régulation 13 et le robinet 12 pour déporter ladite vanne de régulation 13 vis-à-vis dudit robinet 12. Le dispositif d'alimentation 1 1 comprend une électrovanne 14 qui est agencée à l'intérieur de la partie proximale 4b du second bras 4, dans lequel est également agencée la chambre de vaporisation 8. Cette électrovanne 14 est raccordée à la vanne de régulation 13 au moyen d'un tuyau 15 flexible réalisé par exemple en silicone ou en polychlorure de vinyle. On peut envisager un raccordement direct de la première extrémité 15a du tuyau 15 sur la vanne de régulation 13. De même, on peut envisager un raccordement direct de la seconde extrémité 15b du tuyau sur l'électrovanne 14. Dans ce cas, le tuyau 15 pénètre dans le second bras 4 et un surmoulage 16 est prévu au niveau de l'extrémité arrière 4c de ce second bras 4. On peut également envisager que le tuyau 15 comporte une première portion 15c disposée à l'extérieur de l'unité de traitement 2 et raccordée à la vanne de régulation 13 et, une seconde portion 15d disposée à l'intérieur de second bras 4 et raccordée à l'électrovanne 14. Dans ce cas, un système de connexion rapide 17 est agencé entre la première portion 15c et la seconde portion 15d et permet un raccordement étanche à l'eau entre lesdites portions 15c, 15d. Par exemple, le système de connexion rapide 17 peut être constitué d'un embout mâle qui s'encliquète ou se visse de manière étanche sur un embout femelle entre lesquels est agencé un joint d'étanchéité. Un tel système de connexion rapide peut également être envisagé entre l'extrémité 15a du tuyau 15 et la vanne de régulation 13.

Comme illustré en figure 1 , un conduit 18 est agencé entre l'électrovanne 14 et un embout d'entrée 8a de la chambre de vaporisation 8. Lors de l'ouverture de l'électrovanne 14, l'eau circule dans ce conduit 18 et expulse l'eau dans la chambre de vaporisation 8. Cette eau entre en contact avec le dispositif de chauffe dans ladite chambre de vaporisation 8, ce qui permet de créer de la vapeur qui est expulsée à l'extérieur du second bras 4 au niveau des deux surfaces chauffantes 6, 7, par l'intermédiaire d'un système d'éjection du type buse ou orifice (non illustré).

Lors de la fermeture des deux bras 3, 4, le capteur magnétique 10 transmet une information à la carte électronique 9. En fonction du cycle de programmation de cette carte électronique 9 et de la température du dispositif de chauffe dans la chambre de vaporisation 8, ladite carte électronique 9 commande l'ouverture ou la fermeture de l'électrovanne 14.

Le dispositif d'alimentation 1 1 comprend également un système de filtration 19, du type cartouche de filtration, qui est agencé de préférence à la sortie du robinet 12 et en amont de la vanne de régulation 13, comme illustré sur la figure 1 . On peut également agencer un système de filtration en aval de la vanne de régulation 13, composé d'une résine échangeuse d'ions pour adoucir et déminéraliser l'eau du réseau public avant son utilisation avec l'unité de traitement 2. D'autres caractéristiques restent envisageables sans sortir du cadre de l'invention.